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La bataille de Nymphonia IX

 
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Narius
Seigneur Piplette


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 MessagePosté le: Ven 29 Aoû 2008, 18:22    Sujet du message: La bataille de Nymphonia IX Répondre en citant Back to top

HRP : Ce RP est ouvert à tous les amoureux du RP. C’est une bataille terrestre désespéré. Le but est de s’amuser à essayer de survivre voire de gagner. Mais attention, pour ceux qui veulent participer, je ne veux pas de gros Bill qui viennent et tuent tout le monde d’un revers de la main…
Merki !







La bataille de Nymphonia IX

Nymphonia IX, une planète immense recouverte dans sa quasi-totalité par d’imposante forêt aux arbres centenaires.
L’armée de Narius s’y était installée depuis quelques temps après qu’un balayement radar leur ait indiqué qu’aucune créature à sang chaud ne s’y trouvait. Avec du recule, le radar avait raison…
La principale base des forces humaines se trouvait au centre d’un immense cratère. Elle hébergeait quelques 600 000 hommes et équipement. Quatre autres bases de moyennes importances regroupant entre 50 et 80 milles soldats chacune se trouvaient sur les versants du cratère…

Mais un jour, deux de ces bases ne donnèrent plus signe de vie… Croyant d’abord à un problème radio les officiers envoyèrent une équipe de techniciens régler le problème.
Ils ne revinrent jamais, et parallèlement une des autres bases rompit brutalement le contact lors d’une holo-conférence…

Croyant à une attaque, Narius qui était alors sur place partit avec deux régiments de 4000 hommes rejoindre la dernière base annexes et envoya simultanément des éclaireurs voir se qui se passait sur les autres bases.

Lorsqu’il arriva à destination, il tomba sur une véritable vision d’horreur :
La base était en feu et le reste de ses hommes battaient en retraites dans sa direction, inlassablement poursuivit par des « choses » étranges rampant, marchant sur 2 ou plusieurs pattes, mordant, griffant, coupant crachant de l’acide par leur bouches ou par des armes…
Certaines étaient pas plus gros que des chiens, d’autres faisaient plusieurs étages de haut !




Seuls 3000 hommes réussirent a atteindre leurs lignes et se protéger derrière le barrage de tirs formé par le régiment avant de battre en retraite à leur tour vers la base principale qui se tenait en alerte depuis plusieurs heures…




Aujourd’hui, Narius et se qu’il reste de ses hommes soient 250 000 hommes sur le million que comptait ses effectifs avaient réussit à fixé l’ennemis sur les frontières de la base principales…
Les bataillent faisaient rages sur tout le pourtour de la cité. Les assauts de nuits étaient les pires cars contrairement aux humains, ces créatures surnommés Tyranides avaient une parfaite vision nocturne…







Les communications étaient coupées depuis plusieurs jours, ses troupes s’amenuisaient, les ressources de nourritures et les munitions faisaient de même. La situation était si désespérée que les troupes d’élites, les gardes du corps et Narius lui-même prenaient part aux combats qui faisaient rages…

Tout se qu’ésperait le seigneur c’est que la bataille qui ravageait la planète et son manque d’activité ces 4 dernières semaines seraient suffisant pour attirer l’attention de quelqu’un et ainsi recevoir du renfort…
 
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Narius
Seigneur Piplette


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 MessagePosté le: Sam 30 Aoû 2008, 13:03    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

La situation empirait de plus en plus, ces effectifs étaient au bord de la rupture. Pour faire face à la véritable marée ennemie, les blessées étaient à peine soignées qu’ils devaient retourner au combat. Ceux qui n’étaient plus aptes à se battre étaient mis aux postes arrières pour les communications et la coordination.

Grâce au dérivé d’un bouclier de vaisseau qui s’était écrasé au début des combats, les défenseurs avaient réussi à établir un énorme champ de protection sur presque tout le périmètre de la base. La quasi-totalité du pourtour de la base était maintenant inviolable, mais également le sous-sol, car les Tyranides avaient pour habitude de creuser des tunnels afin de ressortir derrière les lignes de défenses.

Le seul point d’entrée de la base était le quartier industriel. À cause des diverses sources énergétiques, le bouclier ne pouvait se déployer. Narius y avait alors envoyé toutes ses troupes : soldats, blindés, marcheurs, droïdes…
Toutes les forces qu’ils possédaient défendraient corps et âmes leurs dernières chance de survie, car si leurs ennemis entraient dans la cité cela sera finit d’eux.

La stratégie était simple, concentrer toute la puissance de feux possible sur ce secteur afin d’empêcher les créatures d’arriver au corps à corps. Car la première chose que comprirent les Humains c’est qu’ils n’avaient aucune chance malgré leurs armures et leurs forces exceptionnelles en combat direct contre les Tyranides. Pourvus de griffes, de dents, ces bestioles possédaient une force et une rapidité incroyable. De plus, leur sang était hautement corrosif, bref une horreur à combattre…


Entouré des vétérans encore debout de sa garde d’élite, engoncé dans son imposante armures recouvertes de traces d’acides et de griffures, Narius contemplait la mise en place de ses troupes.
Ses meilleurs troupes prenaient place dans des modules d’atterrissages, ses chars et le reste de ses troupes prenaient place sur diverses lignes de défenses pendants que le reste de ses navettes continuaient à patrouiller autour de la zone…
Le Seigneur se tourna vers ses officiers qui attendaient derrière lui ses derniers ordres :


Tirez à vus, pas besoin d’économiser les munitions. Lorsque l’ennemi atteindra la première ligne de défense, que les troupes se replient vers la deuxième et ainsi de suite.
Que les canons tirent environs 500 mètres devant nos lignes de défenses afin de couper l’élan de l’ennemi. On ne rentrera dans le corps à corps que s’ils arrivent sur la dernière ligne de défense.
Les unités d’élites se porteront aux plus forts des combats pour éviter que le repli soit catastrophique.


Les officiers le saluèrent et partirent au pas de course exécuté leurs ordres respectifs.
Narius contempla ses 14 lignes de défenses. Il savait pertinemment que tant que leur chance de survie était mince… Sa force spéciale était trop loin pour intervenir et il lui faudrait plusieurs semaines pour arriver. Son seul espoir était une aide extérieur…

Il n’eut pas vraiment le temps de continuer à chercher qui viendrait lui prêté main forte, les alertes se firent entendre… L’ennemi arrivait de nouveau. Il attaquait toujours par vague mais ne se repliait jamais, l’assaut n’était terminé que lorsque la dernière créature était abattue…
Le spectacle qui s’offrit devant lui était horrible. C’était des centaines de milliers de Tyranides qui fonçaient sur ses lignes , une véritable marée que rien ne semblait arrêter, on ne pouvait même plus voir le sol que ces bestioles foulaient…
L’artillerie se mit en route, bientôt suivi du tir des blindés et enfin le claquement reconnaissable des armes des fantassins…

Narius rajusta la garde sur ses armes jeta un regard sur ses soldats et partit rejoindre les troupes sur la première ligne…


Dernière édition par Narius le Dim 07 Sep 2008, 00:01; édité 1 fois
 
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Kushulain
Empereur Redondant


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 MessagePosté le: Dim 31 Aoû 2008, 17:10    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Pour Tarek 669, le risque était une formalité. Membres de l'unité d'élite des submersibles, il ne comptait plus le nombre de missions d'immersion en territoires étrangers ou ennemis.
Pourtant rien n'avait pu le préparer à ça, pas même les missions effectuées chez les hoplites d'Abrak ou encore parmi les représentants du Cultes lors de leurs visites chez Ruche Mère en son temps.
Les Tyranides n'avaient rien à voir, cette race chaotique ne présentait pas deux membres identiques. Tous des aberrations surnaturelles croisement d'insectes, reptiles et d'êtres biomécaniques. Aucun ne présentait les mêmes caractéristiques, pas de point faible commun. Seul point commun, une incommensurable volonté destructrice doublée d'un instinct guerrier hors du commun.

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Le colonel Tarko, comme l'appelait ses subordonnés depuis son intégration dans l'armée de Narius nombre de cycles plutôt, avait activement participé à la colonisation de Nymphonia IX. Ses rapports faisaient état d'une planète quasi paradisiaque, un en vierge de toute civilisation, quand au peuple de Narius, il le qualifiait de non hostile mais capable de répondre à toute agression par une annihilation pure et simple.
Aussi était-il sur le point de quitter Nymphonia, lorsque les premiers incidents se déclarèrent. Kushulain, esprit éthéré depuis la révolution qui avait conduit Omikron à sa perte, en tant que dirigeant des Derniers Omikroniens Libres lui avait demandé (par l’intermédiaire d’une puce de transmission greffée dans le crâne de Tarek 669) de rester sur place jusqu'à ce que les évènements soient éclaircis.

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De trop nombreux jours s'étaient écoulés depuis les premiers signes de dangers. Le Colonel Tarko était loin d'être dans les confidences de Narius, cependant il était suffisamment aguerri aux situations de conflits pour comprendre que sans aides extérieures leurs jours étaient comptés.
D'autant plus, que si les Tyrannides étaient redoutables en journée, rien ne leur résistaient la nuit venue. Leurs sens, leur résistance, leur férocité au combat étaient accrues à tel point que toutes les tentatives d'assauts ou d'embuscades étaient voués à l'échec. Si les indigènes mourraient en nombre durant la journée, les seuls morts nocturnes étaient à compter au sein des troupes de Narius.

Tarek 669 mesura l’étendu de la situation, il aurait pu partir laisser le peuple de Narius et les Tyrannides s’entretuer puis soumettre Nymphonia IX à une destruction pure et simple. Ce n’était pas les « amis » qu’il s’était fait ici depuis son arriver qui le retiendraient, il aimait trop se targuer d’être sans attache pour s’en créer sur une simple mission. Toutefois, la possibilité que les Tyrannides présent ne soient pas les seuls et que d’autres foyers peuplent l’univers lui traversa l’esprit. De plus comment pouvaient ils être en si grand nombre sans que rien n’aie été détecté lors de leurs arrivés sur la planètes ? Tarek suspectait sérieusement la possibilité d’une menace tout autre et beaucoup plus importante que celle représentée par les Tyrannides.

Ainsi en référa-t-il à l’état major D.O.L. qui décida d’intervenir. Une aide immédiate serait soumise à Narius. L’identité de Tarek 669 ne serait pas dévoilée et il lui suffirait de « mourir » durant le combat pour pouvoir rejoindre ses pénates.

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Kushulain quitta le réseau de transmission du Dériveur, seul commodore rescapé de l’ancienne Omikron et Q.G. de l’état major des D.O.L. depuis, et atteint la navette furtive permettant de rester en liaison avec le submersible Tarek 669.
Alors qu’il entreprit d’entrer en contact avec Narius ou un de ses proches généraux il réalisa que ceux-ci n’avaient plus aucun moyen de communication intergalactique opérationnel. Il ne pouvait pas trahir son unité sur place, sa déontologie le lui interdisait et même s’il n’en avait pas eu, les risques qu’encourrait son peuple si leurs missions de reconnaissance et prise d’information étaient révélées, ces risques étaient inacceptables.
Il chercha un système de communication à portée et localisa une navette nexus à moins de 50 D.U. de Nymphonia IX. Il ne connaissait pas l’identité du propriétaire, il espérait seulement que celui ne lui en veuille pas trop, et qu’il puisse peut être se rendre à leur secours eux aussi. Après plusieurs heures pour contourner tous les pare-feux il se rendit maître de la navette et la dirigea sur l’air d’atterrissage de la flotte de Narius en ayant préalablement enregistré un message à l’intention de ce dernier.
Puis prudence étant mère de sûreté, il rejoignit les systèmes de communication de la navette furtive et entra en contact avec son état major.

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Narius rajusta la garde sur ses armes jeta un regard sur ses soldats et partit rejoindre les troupes sur la première ligne…
Il était au combat depuis plusieurs heures lorsqu’un messager vint lui annoncer qu’une navette nexus non identifiée avait atterri sur Nymphonia…
 
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Narius
Seigneur Piplette


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 MessagePosté le: Mar 02 Sep 2008, 13:00    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Cela faisait plusieurs heures que les combats faisaient rage. A 4 reprises, la première ligne dut se replier avant de se relancer à l’assaut de ses positions initiales.

Sa tactique marchait pour le moment, lui permettant ainsi de limiter ses pertes. Ses soldats faisaient pleuvoir une pluie de balles et de laser sur leurs adversaires et se repliaient à l’abri de la 2e ligne de défense quand l’ennemi se faisait trop présent. Lorsque la situation leur permettaient, ils repartaient à l’assaut et reprenaient position sur leur défense de base, achevant toute bêtes rencontré sur la route.

Néanmoins, il semblerait qu’il est sous estimé la capacité stratégique de l’adversaire…
Lors du dernier assaut, il ordonna la retraite comme à son habitude, mais ce coup si, les tyranides qui étaient en première lignent s’écartèrent pour laisser placer à des bestioles plus petites, marchant sur quatre pates pourvues d’imposantes griffes. Ces bestioles s’élancèrent à la poursuite des hommes de Narius à une vitesse vertigineuse.
Comprenant qu’ils n’arriveraient pas à arrivé à la 2e ligne de défense, Narius ordonna se stopper la retraite et d’ouvrir le feu tout en demandant un soutient de blinder pour l’évacuation.
Les soldats stoppèrent nette leur élan, se retournèrent et ouvrirent le feu.
Entouré de ses soldats d’élite, Narius ouvrait le feu à l’aide de ses deux Bolter Lourds fixé sous les avant bras de son armure.
La vague de tire faucha les premières lignes ennemies mais qui arrivèrent finalement au corps à corps.Narius attrapa la première bestiole de sa main droite, et lui broya la boite crânienne à l’aide de son gant énergétique. La deuxième fut fauché avant même d’arrivé à porté de crocs. Le suivant fut dévié d’un revers rageur du bras. Il réactiva immédiatement ses bolters lourds et faucha ses nouveaux opposants directs. Soudain il ressentit une violente douleur au niveau de son épaule gauche. Il s’écroula, un tyranide sur le dos, l’une de ses grandes griffes enfoncée dans l’une des jointures de son armure.

Alors que le monstre allait lui arracher la tête à coup de crocs, des tires le fauchèrent. Deux des membres de sa garde d’élite arrivèrent et l’aidèrent à se relever.
Narius grimaça sous la douleur qui se dissipa dans les secondes qui suivirent. Les diverses drogues venait d’être injecté automatiquement, dissipant la douleur. Son armure lui permettrait de continuer le combat grâce à diverses substances adéquates et des vérins hydrauliques.

C’est alors que la Compagnie Blindée fit son apparition, faisan pleuvoir obus et balles de gros calibres sur les tyranides. Les fantassins survivant s’empressèrent de monter à bords pour rejoindre la 2e ligne de défense. Arrivé a destination, Narius fit regrouper se qu’il restait des troupes de la premières ligne. A peine 25% des effectifs initiaux étaient encore aptes à combattre. Preuve s’il en fallait que ces Tyranides étaient redoutables au corps à corps.

A ce moment, un officier fit son apparition, lui expliquant qu’une navette Nexus non identifié venait d’atterrir sur l’une des pistes de la forteresse.


Fermer tout les accès aux pistes et sécuriser le secteur. Amener moi au post de contrôle !

L’officier s’exécuta, et quelques minutes après Narius se retrouvait dans la post de Commandement, le haut de son amure lui avait été retiré et un médecin s’occupait de recoudre la plaie pendant que lui pianotait sur son écran tactile.

Navette Nexus 0213, ici l’Empereur Narius , dirigeant de la base où vous venez de vous poser, veuillez vous identifier !
 
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Kushulain
Empereur Redondant


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 MessagePosté le: Sam 06 Sep 2008, 22:01    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Le Colonel Tarko avait du mal à trouver le repos. Ces hommes et lui attendaient l'heure du retour aux combats avec de la détermination, certes mais empreinte d'angoisse tout de même. Les nouvelles n'étaient pas au mieux, par une fois un tyranide avait pu atteindre Narius, qui n'avait du sa survie qu'à l'intervention in extremis de soldats d'élites. Si un tel évènement dans le feu de l'action galvanisait les troupes, quand il était rapporté aux soldats attendant de se rendre sur le front, il glaçait le sang tout en distillant un parfum de mort qui oppressait toujours même les plus aguerris. L'inactivité ne valait rien, elle n'aurait pour effet que de ternir davantage le moral des hommes. Quelques ordres simples sortirent les hommes de leurs torpeurs, il récupérèrent leurs armes et se dirigèrent vers les dernières lignes de défense.
Juste à temps pour recevoir l’ordre de sécuriser le secteur le temps du replis des derniers hommes. Les dernières heures de combats avaient visiblement laisser peu de survivants, mais il y aurait moins de mort désormais. Seuls avaient survécus les combattants aux reflex aiguisés, et habitués aux combats les plus rudes, chacun de ces héros de guerre avaient très certainement tuer à eux seuls plus de tyranides qu’avait pu en occire tous leurs compagnons morts ce jour sur le front.
Tarek 669 vit Narius, monument de combat dans son armure se diriger vers le poste de commandement. Peut être allait il recevoir des nouvelles de soutient, Tarek 669 qui avait l’habiutde de ne compter que sur lui se surpris à espérer.

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… veuillez vous identifier !

Le pilote, l’ensemble du staff technique, ainsi que les employés du centre nexus de la Navette 0213 ne savait pas s’ils devaient répondre. Depuis qu’ils avaient perdu le contrôle une entité ayant visiblement investit les terminaux de la navette leurs avait intimer le plus grand calme, signifiant qu’il ne s’agissait pas d’une prise d’otage mais que des évènements suffisamment important justifiait ce détournement.
Puis plus rien, La navette avait fini par atterrir, ils avaient attendu et on leurs demandait maintenant de s’identifier. Le pilote s’appreta a parler finalement lorsque le système de communication holographique s’activa laissant apparaître un visage qui leur était inconnu. Les hauts parleurs intérieurs extérieurs de la navette émirent un mille hertz désagréable puis une voix se fit entendre :

- Salutation Empereur Narius, appelez moi Kushulain puisque c’est ainsi que l’on me nomme. Je suis le dirigeant des survivants du peuple d’Omikron. Je viens vous proposer mon aide. Puisque semble t il vous en avez besoin. J’ai à vous offrir le soutient de cinq cent mille Z-clones, dix mille soldats d’élites et une frégate de soutient. Le tout s’apprète a effectuer un bond hyperspatial et peut être là en quelques heures seulement.


Un long silence lourd de questions fit place à la voix de Kushulain. Il attendit que tous ai digéré sa proposition puis repris :

- Je sais tout de la situation ou tout au moins beaucoup, et je ne crois pas que la situation demande trop de réflexion. Je suis le seul qui puisse en ce moment vous proposer mon soutient. Le soleil décline déjà vous ne tiendrez pas une nuit supplémentaire. Ma frégate de soutient possède la technologie qu’il vous faut, technologie rapporté d’Omikron. Je peux vous offrir un dôme météorologique, vous pourrez contrôler le climat sous ce dôme offrant ainsi a vos hommes les conditions de combats optimales, il fera jour ou nuit selon vos envies. Et militairement parlant, je sais que vous n’êtes pas en mesure de refuser un demi million de combattants.

Sur ces paroles Kushulain s’interrompit attendant une réaction de l’empereur…
 
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Narius
Seigneur Piplette


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 MessagePosté le: Dim 07 Sep 2008, 00:37    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Un silence lourd plana dans le Centre de Commande. Même Narius s’était arrêter, digérant les informations qu’ils venaient de recevoir et qui signifiait beaucoup. Alors que son médecin venait de recoudre la blessure et s’appliquait à nettoyer le sang pendant que des techniciens rechargeaient les poches de drogue et réparaient l’amure, Narius répondit d’un ton calme et froid :

Kushulain.. Je vous remercie de votre intervention et de votre aide. Mes hommes et moi-même vous seront éternellement reconnaissant… Les pistes seront toutes dégagées pour l’arrivée de votre flotte. Maintenant, veuillez m’excuser, mais j’ai encore beaucoup de travail…

En sentiment d’espoir retrouvé flottait sur le QG, mais personne ne le montrait car Narius semblait troublé. Alors qu’on lui remettait la partie supérieure de son armure et que l’on rechargeait en munition ses bolters lourd, l’Empereur appela deux de ses officiers.

Ne mettez pas encore au courant les troupes de l’arrivé de renfort, avertissez-en juste les officiers, ce n’est pas le moment de se relâcher.
Faite dégager les pistes et mettez les troupes d’élite à l’accueil des renforts… Je ne les connais pas et ne veux pas prendre de risque. Si quelque chose leur parait louche, qu’ils ouvrent le feu.
Dans le cas contraire, regrouper ces soldats par Compagnie de 20 000 hommes et affecter les à nos troupes. Que leur soldats d’élite rejoignent ma garde.


Les officiers acquiescèrent et partirent remplir leur mission. Narius appela alors un des hommes chargé des renseignements et de la communication.

Ce Kushulain n’est pas net. D’abord la navette Nexus ne porte pas son blazon, ensuite il en sais beaucoup trop sur notre situation. Il sait pour l’invasion, il sait pour leur aptitude nocturne… Quelqu’un le renseigne… Trouver-le moi ! Et trouvez moi comment ce connard à pu faire passer les informations alors que nous nous avons été incapable de pouvoir transmettre quoi que ce soit en dehors de cette putin de base, c’est compris ! Et trouvez moi aussi tout se que vous peuvez sur Kushulain !

L’homme acquiesça rapidement et partit au pas de course, trop heureux de ne plus être à porter de main de son chef lorsqu’il était dans cet état.
Le tout maintenant était de tenir les Tyranides aussi loins possible de l’astro-port le temps que ces renforts si cela en était puissent débarquer avec leur matériel en toute sécurité. De toute manière, si ces gas n’étaient pas des alliés, ils seraient mort rapidement et se seraient ensuite fait tuer par les tyranides…
Sortant du post de Commandement seulement entouré de ses deux gardes personnels, les élites étant été envoyés au spacio-port, l’Empereur reprit le chemin de la première ligne. Ses officiers les plus hauts gradés étaient entrain de préparé la coordination des nouveaux arrivants.
Narius décida donc de faire monter les troupes des 4 dernières lignes sur la premières afin garder l’ennemis distance. Ces troupes étaient les plus fraiches qu’il y avait… Lorsquil arriva à leur hauteur, non loin de Tarko, Narius leur déclara d’une voie forte.


Soldats !
Les heures qui suivent vont être un tournant de cette bataille. Soit nous mourrons tous, soit nous écraserons ses vermines. Nous purifieront ce monde par le feux et l’acier, par notre courage et notre volonté !
Ma Garde d’élite à été appelé ailleurs. En cette heure, je compte sur vous pour lui faire honneur et la remplacer avec succès !!
En avant !


Un chant de guerre pour se donner du courage fut entonné par les soldats qui se mirent à marcher en même temps que leur Empereur. Plus la chanson avançait, et plus Narius savait qu’il amenait une grande partie d’entre eux vers la mort…
Lorsque la chanson se finit, la première ligne était en vue et l’on pouvait apercevoir les soldats lutter vaillamment pour repousser la masse impressionnante de monstre qui fondait sur eux.
Doucement le pas s’accéléra et la troupe se mit à courir en criant pour se donner du courage. Dès qu’il atteignit la ligne, les bolters lourds de Narius se mirent à déverser leur projectiles de mort…
 
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Kushulain
Empereur Redondant


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 MessagePosté le: Ven 12 Sep 2008, 16:35    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Maintenant, veuillez m’excuser, mais j’ai encore beaucoup de travail…

Sur ces paroles Kushulain interrompit la connection, précisant que les hommes dans la frégate n’était pas de omikroniens et demanda à ce qu’ils puissent partir quand ils le souhaitaient.
L’Etat-Major D.O.L. ne tergiversa guère longtemps. Les Éveillés, déjà par le passé, s’étaient réunis pour faire front face aux hordes démoniaques qui avaient envahi Omikron, de nouveaux ils se levèrent pour faire face aux nouvelles menaces : il était d’une absolue nécessité que la menace Tyranide soit évincée, et que le submersible Tarek 669 soit rapatrié sain et sauf. Leur propre sécurité ainsi que celle ne nombreux peuples dans la galaxie était menacée, cette fois ci, aucun monde ne serait détruit. Ils étaient préparés.
Toutes les Frégates nécessaires à l’opération terminaient leurs préparatifs, dans quelques minutes elles effectueraient les bond pour se rendre vers Nymphonia IX.

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Les troupes menées par le Colonel Tarko faisaient front depuis près de douze heures maintenant. Ils n’étaient plus qu’une centaine de survivants et semblaient dépassé par les hordes Tyranides. Mais ils tenaient bon, plus aucun d’eux ne mourait maintenant, muent par leurs instincts ils tenaient leur position repoussant les assauts ennemis au rythme des tirs de bolters de Narius, qui à quelques centaines de mètres luttait, infatigable, tel un dieu du combat.
A de nombreuses reprises ces soldats l’avaient pressé de rejoindre Narius et es hommes, mais il avait toujours refusé, cela n’aurait eu pour d’autre effets que de concentrer les assauts tyranides en un points, et Narius était trop à découvert pour qu’eux plus légèrement armés puissent faire front. Il avaient tiré leçon de l’incident survenu plusieurs heures plutot, lorsque un tyranides l’avait pris par surprise. Tarek 669 avait alors perdu son arme, et il n’avait du sa survie qu’à sa maitrise des arcanes Ta’ar le temps de rejoindre ses hommes.S’il avait pu survrire une dizaine de minutes isolés et sans armes, il suspectait ses soldats de n’être pas assez aguéris aux combats rapproché pour survivre de même.
Le soleil se couché petit à petit laissant place au crépuscule. Ils goutaient enfin quelques instants de repis, de ceux dont le silence ne laisse rien présager de bon, mais dont on sait qu’il faut apprécier la quiétude pour récuperer le plus rapidement possible, lorsque des vombrissements crevèrent le ciel. Les hommes se mirent en alerte, guettant ce qui se tramait.
Trois vaisseaux apparurent, synonyme de soutient aux yeux de Tarek qui avait reconnu le blason de son peuple. Deux se dirigèrent vers les pistes d’atterissage au centre du cratère. La troisième détourna sa trajectoire et en fit deux fois le tour s’éloignement faiblement. Puis dans un troisième tour commença un “bombardement” régulier et visiblement stratégique, mais rien n’explosait cependant. Tarek 669 observa le manège de la frégate, et lorsque celle ci eut lâché son sixième colis intima l’ordre à ses hommes de se tourner face au cratère et de fermer les yeux. Lui scruta l’horizon, et vit au loin les troupes tyranides débordante de rage revenir à l’assaut, la nuit était tombée maintenant, et ses monstres savouraient déjà ce qui devait être pour eux la nuit de la victoire. Les troupes de Narius n’étaient plus assez nombreuse pour soutenir un assaut nocturne. Tarek esquissa néanmoins un sourire, se retourna ferma les yeux et ordonna, oubliant toute prudence :
“- abaissez vos visières de combats, et tenez vous prêts à combattre sur mon ordre.
- Les visières ? interrogea le plus proche soldat. Comme si la nuit ne leur donnait pas déjà un avantage conséquent. Autant nous crever les yeux ce sera plus rapide.
- Mais beaucoup plus douloureux, et irréversible soldat. La chance tourne et se place à nos côté. Ces tyranides qui arrivent ne connaîtront plus la nuit de toutes leur chienne de vie, je peux vous l’assurer.”

Sur ses dernières paroles, la troisième frégate d’assaut qui s’était positionnée à mille pieds au dessus du cratère activa le dôme. Pendant une dizaine de seconde une lumière si intense se fit, qu’elle sembla tout effacer sur son passage, les tyranides qui se pressaient pour combattre stoppèrent leurs courses chutant à cause de la douleur infligée par se changement abrupte de luminosité. Même Narius due fermer les yeux quelques secondes avant que tout redevienne à la normale. Enfin à supposer que ce soleil éclairant sur près d’un rayon de 20 km autour du cratère en pleine nuit soit normal.
Le Colonel Tarko ordonna l’assaut et sorti accompagné de ses hommes de leur retranchement, massacrant toute présence tyrannide à portée de tirs. Les tyrannides reculèrent sous l’assaut suffisamment pour qu’ils puissent rejoindre Narius et former un front d’attaque surpuissant autour du géant guerrier.

Pour la première fois depuis des jours, le combat tournait à leur avantage, cette euphorie, et le souvenir de leur camarades perdus rendirent durant quelques heures tous les survivants invincibles. Les Tyrannides se repliaient.
 
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L'Exilé
Chorale désaccordée


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Localisation: Là ou l'Exilé m'apelle

 MessagePosté le: Sam 13 Sep 2008, 16:43    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

La Peur..............
La Haine.............
La Souffrance......
La Folie..............
Le Désespoir......

Dans tous terribles moments de l'histoire des Hommes, ces derniers ressentaient massivement cela. Leurs sentiments pulsaient tels une gigantesque balise indiquant à la Galaxie entière:

"Il y a encore des hommes qui vivent et qui meurent ici!"


Le Culte avait toujours tendu la main à ceux dans le besoin.
La Foi était sensé aire des miracles, l'Exilé ne comptait pas décevoir.
Il avait perçu ce terrible message inconscient.
Les prières de ces hommes perdus et désespérés avaient retenti dans le crane de Vaérys pleinement conscient de tout ce qui se passait.

Les informations restaient troubles hormis que des humains se faisaient massacrer par des bêtes sans âme. L'Exilé insistait sur ce point.
Les non-humains avaient une âme et elle pouvait être sauvée.
Cependant pour les créatures sans âme, il n'y avait qu'un châtiment possible.

Le Culte Est et Sera!

Le cri de guerre des Dévots résonnait dans l'esplanade de débarquement de l'Autel du Culte en B1. Le Cardinal en personne était venu voir le départ des hommes alors même qu'il se préparait à filer vers le Nord pour la Sainte Croisade.

Les Hérétiques devaient bruler au Nord mais l'on ne pouvait laisser tant d'âmes se perdre. Et surtout les Tyrannides devaient être exterminés sans pitié et bonté aucune.

L'Exilé ne tend pas la main aux sans-âmes.

Les portes des vaisseaux se refermèrent en grinçant.
Manipulant les Arcanes, le Cardinal lança les vents stellaires dans leur direction et le vaisseau orné du symbole du Culte vola à travers l'espace.


A l'intérieur, la caste des Moines-Templiers se réunissait autour des hommes. Dégageant un grand espace, les plus Pieux des guerriers du Culte se mirent en demi-cercle autour de leur chef, Draénys dit le "Marteau de la Foi".


Le Capitaine Moine, pieux entre tous, s'éclaircit la gorge d'un grognement qui fit taire tous les Dévots présents.
Grand, barbu le commandant étonnait par sa vieillesse.

Ses cheveux blancs filasses voletaient autour de lui pareils à des toiles d'araignées. Sa barbe plus blanche que noire recouvrait totalement son menton. Le nez cassé et balafré à l'oeil droit, Draénys n'avait jamais plu a quiconque au premier regard. Esprit moins profond que son frère Vaérys, il avait compris plus tardivement les principes de l'Exilé.
Il les acceptaient totalement avec une Dévotion sans faille mais sans les comprendre comme son frère qu'il servait.

Il ne lui en voulait car c'est ainsi qu'il se sentait vivre.
Au coeur de sa Foi.

Fidèles entre les Fidèles, l'heure est venu de montrer votre Piété.

Des Perdus se font tailladés par milliers par les monstres sans esprit de l'Apocalypse. Je refuse de rester ici à me fourvoyer et vous Frères?


L'assentiment vint en masse de la foule de guerriers fanatiques présents.
Leurs yeux brillaient d'une Lumière particulière au Culte.
Ils commençaient à faire appel l'Exilé pour leur donner la force de tuer leurs ennemis mais aussi....de survivre.
 
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Narius
Seigneur Piplette


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 MessagePosté le: Ven 19 Sep 2008, 14:01    Sujet du message: Répondre en citant Back to top

Les combats s’étaient enchainer, et à chaque fois, les vagues tyranides s’étaient replier ou écraser devant la défense humaine. Néanmoins, chaque assaut leur prenait de plus en plus de territoire. Icône de guerre pour son peuple, Narius se devait de rester en première ligne quoi qu’il arrive. Trois blessures importantes avaient déversé des quantités de sang non négligeable. Mais sous l’effet des diverses drogues et produits synthétique injecté automatiquement par l’amure, les plaies s’étaient refermé et tiendrai assez longtemps pour laisser le temps à un médecin de recoudre la peau.

Lors des brèves accalmies, des techniciens venaient changer le bac dorsal du colosse. C’est dans ce pack que se trouvaient les munitions qui alimentaient ses armes et les diverses poches de drogues. A chaque fois, il avait refusé l’aide de médecin. Enlever son amure et la remettre prenait un temps certain, et il ne pouvait se le permettre. Sa garde d’élite était revenue auprès de lui, massacrant à elle seule de nombreux ennemis. Pour l’armée de Narius, lui et sa garde étaient des dieux vivants. Leur modification génétiques et leurs amures en faisaient de véritable machine à tuer. Pouvant encaisser des blessures qui auraient tué n’importe quels humains normales, ils pouvaient continuer à se battre sans gène importante.

Le dernier assaut fut le plus dévastateurs… Les Tyranides bien plus nombreuses avaient submergé avec une rapidité terrifiante la première ligne. Seul au milieu de celle-ci résistait un îlot de soldats : Celui de Narius et Sa garde. Avec leur puissance de feux, ils arrivaient à tenir à distance les immondes créatures qui se déversaient sur eux. Non loin d’un bâtiment en ruine, l’Etendard de l’empire flottait, tenue par l’un des gardes qui avait perdu l’un de ses bras. A coté de lui, un autre souffrait le martir, ses poches de drogues étaient vident. Appuyer contre un muret en ruine, il serrait les dents, incapable de bouger ou de soulever une armes. Autour d’eux, les valides continuaient de tirer leurs balles explosives comme des déments, criant, chatant ou parfois même priant.



Au milieu de tout ça, Narius déversait ses bolts avec une précision limitée. Après tout, vue la masse qui se présentait devant eux, il était sur de faire mouche à chaque coups…
D’un ordre rapide, il demanda à l’un de ses gardes de prendre sa place et en profita pour reculer d’avantage vers le couvert de ses hommes. Appuyant dans son oreillette, il ordonna à ses officiers de lancer un assaut général afin de les repousser et ainsi lui permettre de souffler.

C’est alors que 3 frégates les survolèrent. Les renforts !
Il observa avec attention le manège de l’une d’elle, et s’étonna de son bombardement sans grande efficacité. C’est alors qu’une forte lumière jaillit. Narius lâcha un juron tant sous l’effet de la surprise que de la douleur de ses yeux qui s’étaient habituer à l’obscurité. Lorsqu’il put enfin les rouvrir, il constata avec étonnement que le jour était revenu sur la surface bombardé. Un atout de taille. D’un cri de guerre, il motiva sa garde à accentuer leurs pressions. C’est alors qu’il entendit les cris de bataille se rapproche. Le reste de l’armée les rejoignaient dans un sursaut de courage et de l’euphorie.




Quelques minutes plus tard, les Tyranides se repliaient et les hommes pouvaient enfin souffler. L’un de ses officiers radio lui annonça que les renforts débarquaient en masse et qu’un autre vaisseaux avait été détecté en approche. Soulager et heureux, l’Empereur prit le communicateur et donna ses ordres.

Mettez les nouveaux arrivés en premières lignes, faite mettre au repos l’intégralité de nos troupes. Réunissez-moi tout nos officiers actifs dans la salle de commandement ainsi que ceux de nos alliés. Que les officiers de réservent prennent momentanément le commandement des escouades alliés.

Un instant de repos : une chose que beaucoup n’avaient eut depuis bien longtemps… Il fallut plusieurs heures pour que la jonction des deux troupes et les nouvelles positions soient données. Narius et sa garde prenait elle le chemin de ses lignes arrière. Fatigué, l’Empereur donnait néanmoins à quelques hommes une poigné de main ou un compliment à ceux dont leur officier lui avaient fait les louanges.
Arrivé dans la salle de commandement, il se laissa enfin examiner par un médecin. Aider de techniciens, celui-ci lui ôta son armure, laissant apparaitre une torse imposant et musclé, couver de cicatrices toutes plus imposantes les unes que les autres. C’est avec respect qu’il commença son œuvre.

Les premiers officier rentraient, la réunion pouvait bientôt commencer…
 
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